FICTION
Le Dernier jour d’Yitzhak Rabin
4 novembre 1995. Yitzhak Rabin, Premier ministre israélien, l’homme des accords d’Oslo et Prix Nobel de la paix, est assassiné sur la place des Rois d’Israël à Tel Aviv après un long discours contre la violence et pour la paix. Son assassin : un étudiant juif religieux d’extrême droite.
Vingt ans après, le cinéaste Amos Gitai revient sur cet événement traumatisant avec un nouvel éclairage. Replaçant l’assassinat dans son contexte politique et sociétal, Le Dernier jour d’Yitzhak Rabin mêle reconstitutions fictives et images d’archives afin d’offrir un véritable thriller politique.
PRESSE
(…) Gitai mène une enquête sur les conséquences de l’extrémisme politique, une étude sur la façon dont une rhétorique enflammée peut semer les graines de la violence. Le Dernier Jour d’Yitzhak Rabin montre un dirigeant démocratiquement élu non seulement critiqué et méprisé mais diabolisé, dépeint comme un dictateur et un monstre, un traître, un étranger et un ennemi de son peuple. Le genre de rhétorique visant Rabin, y compris à partir des rangs du parlement israélien et du parti d’opposition, ne sera guère familier aux oreilles américaines. Nous avons eu la chance jusqu’à présent. Mais ce serait une erreur de voir ce film troublé et troublant simplement comme une enquête. Il est également un avertissement.
A. O. Scott, New York Times, 28 janvier 2016
Amos Gitai impose, par sa mise en scène et son montage, un cinéma vérité qui fait le pari de l’artifice, de la manipulation ouverte des images. D’où un étrange théorème : plus l’image est pauvre, vidéo, télévisée, plus elle fait preuve de vérité, et contamine la grande forme cinématographique en la précipitant dans I’histoire. Le réalisateur rapproche ainsi ces deux types d’image en creusant sans cesse leur contraste ; la morale du film joue (jusqu’à l’illusionnisme) dans cet écart ouvertement recherché. Cette expérience est fondée sur la confiance accordée aux spectateurs : eux seuls sont amenés à « travailler le film », presqu’à le finir, en tous les cas à lui donner, non pas son sens mais ses sens, pluriels et contradictoires, et à garder l’œil ouvert sur la diversité et l’imbrication de ces images de natures si différentes. […] Le film est passionnant car il pose, avec les armes du cinéma, une question glaçante pour la démocratie : que faire quand l’appel au meurtre ne semble plus déranger personne ? »
Antoine de Baecque, « C’est Rabin qu’on assassine. Amos Gitai dans le maelström de l’histoire israélienne », L’Histoire, 24 novembre 2015
FESTIVALS
• Biennale di Venezia/Mostra d’arte cinematografica 2015 – En compétition. Mouse D’Oro Award, Human Rights Nights Award
• Toronto International Film Festival 2015 – Masters
CRÉDITS
Scénario Amos Gitai, Marie-José Sanselme
Image Eric Gautier
Casting Ilan Moscovitch
Montage Yuval Orr, Tahel Sofer, Isabelle Ingold
Direction artistique Miguel Markin
Son Alex Claude, Nir Alon
Musique Amit Poznansky
Recherches Rivka Markovitzky Gitai
Costumes Danu Bar Shay
Maquillage Ziv Katanov
Avec Yitzhak Hiskiya (président de la Commission), Pini Mittelman (membre de la Commission), Tomer Sisley (chauffeur de Rabin), Michael Warshaviak (membre de la Commission), Einat Weizman (avocate de la Commission), Yogev Yefet (assassin de Rabin), Ronen Keinan (avocat de la Commission), Tomer Russo (directeur de l’hôpital), Uri Gottlieb (conseiller juridique du gouvernement), Ruti Asarsai (policière), Dalia Shimko (psychiatre), Gdalya Besser (officier de Police), Odelia More (professeur), Eldad Prywes (garde du corps de Rabin), Shalom Shmuelov (agent de renseignement), Mali Levi (la journaliste), Liron Levo (le soldat), Yona Rosenkier (participant au rassemblement), Yael Abecassis (interviewer) et Shimon Peres
Producteurs Cyril Colbeau Justin & Jean-Baptiste DuPont, Sylvie Pialat, Laurent Truchot, Michael Tapuach, Francesco Di Silvio, Amos Gitai
Production LGM cinema, les Films du Worso, France 2 Cinéma, Orange studio, Hamon Hafakot, Agav Films with support from The Rabinovitch Foundation for the Arts, Cinema Project. The Leon Recaneti Foundation
Line producers Gadi Levy, Shuki Friedman, Benoît Quainon
4 novembre 1995. Yitzhak Rabin, Premier ministre israélien, l’homme des accords d’Oslo et Prix Nobel de la paix, est assassiné sur la place des Rois d’Israël à Tel Aviv après un long discours contre la violence et pour la paix. Son assassin : un étudiant juif religieux d’extrême droite.
Vingt ans après, le cinéaste Amos Gitai revient sur cet événement traumatisant avec un nouvel éclairage. Replaçant l’assassinat dans son contexte politique et sociétal, Le Dernier jour d’Yitzhak Rabin mêle reconstitutions fictives et images d’archives afin d’offrir un véritable thriller politique.
(…) Gitai mène une enquête sur les conséquences de l’extrémisme politique, une étude sur la façon dont une rhétorique enflammée peut semer les graines de la violence. Le Dernier Jour d’Yitzhak Rabin montre un dirigeant démocratiquement élu non seulement critiqué et méprisé mais diabolisé, dépeint comme un dictateur et un monstre, un traître, un étranger et un ennemi de son peuple. Le genre de rhétorique visant Rabin, y compris à partir des rangs du parlement israélien et du parti d’opposition, ne sera guère familier aux oreilles américaines. Nous avons eu la chance jusqu’à présent. Mais ce serait une erreur de voir ce film troublé et troublant simplement comme une enquête. Il est également un avertissement.
A. O. Scott, New York Times, 28 janvier 2016
PRESSE
Amos Gitai impose, par sa mise en scène et son montage, un cinéma vérité qui fait le pari de l’artifice, de la manipulation ouverte des images. D’où un étrange théorème : plus l’image est pauvre, vidéo, télévisée, plus elle fait preuve de vérité, et contamine la grande forme cinématographique en la précipitant dans I’histoire. Le réalisateur rapproche ainsi ces deux types d’image en creusant sans cesse leur contraste ; la morale du film joue (jusqu’à l’illusionnisme) dans cet écart ouvertement recherché. Cette expérience est fondée sur la confiance accordée aux spectateurs : eux seuls sont amenés à « travailler le film », presqu’à le finir, en tous les cas à lui donner, non pas son sens mais ses sens, pluriels et contradictoires, et à garder l’œil ouvert sur la diversité et l’imbrication de ces images de natures si différentes. […] Le film est passionnant car il pose, avec les armes du cinéma, une question glaçante pour la démocratie : que faire quand l’appel au meurtre ne semble plus déranger personne ? »
Antoine de Baecque, « C’est Rabin qu’on assassine. Amos Gitai dans le maelström de l’histoire israélienne », L’Histoire, 24 novembre 2015
FESTIVALS
• Biennale di Venezia/Mostra d’arte cinematografica 2015 – En compétition. Mouse D’Oro Award, Human Rights Nights Award
• Toronto International Film Festival 2015 – Masters
CRÉDITS
Scénario Amos Gitai, Marie-José Sanselme
Image Eric Gautier
Casting Ilan Moscovitch
Montage Yuval Orr, Tahel Sofer, Isabelle Ingold
Décors Miguel Markin
Son Alex Claude, Nir Alon
Musique Amit Poznansky
Recherches Rivka Markovitzky Gitai
Costumes Danu Bar Shay
Maquillage Ziv Katanov
Avec Yitzhak Hiskiya (président de la Commission), Pini Mittelman (membre de la Commission), Tomer Sisley (chauffeur de Rabin), Michael Warshaviak (membre de la Commission), Einat Weizman (avocate de la Commission), Yogev Yefet (assassin de Rabin), Ronen Keinan (avocat de la Commission), Tomer Russo (directeur de l’hôpital), Uri Gottlieb (conseiller juridique du gouvernement), Ruti Asarsai (policière), Dalia Shimko (psychiatre), Gdalya Besser (officier de Police), Odelia More (professeur), Eldad Prywes (garde du corps de Rabin), Shalom Shmuelov (agent de renseignement), Mali Levi (la journaliste), Liron Levo (le soldat), Yona Rosenkier (participant au rassemblement), Yael Abecassis (interviewer) et Shimon Peres
Producteurs Cyril Colbeau Justin & Jean-Baptiste DuPont, Sylvie Pialat, Laurent Truchot, Michael Tapuach, Francesco Di Silvio, Amos Gitai
Production LGM cinema, les Films du Worso, France 2 Cinéma, Orange studio, Hamon Hafakot, Agav Films with support from The Rabinovitch Foundation for the Arts, Cinema Project. The Leon Recaneti Foundation
Producteurs délégués Gadi Levy, Shuki Friedman, Benoît Quainon
VENTE / DISTRIBUTION
INDIE SALES
32, rue Washington. 75008 Paris – France
>+33 (0)1 44 83 02 27
info@indiesales.eu
AGAV FILMS
6, cour Berard. 75004 Paris – France
+33 (0)1 42 40 48 85
agav@amosgitai.com
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